Notre histoire

C’est par l’intermédiaire de Dorine Bourneton, responsable RSE de Louvre Banque Privée que Jean-Marc RIBES, président du Directoire Louvre Banque Privée, le Pr Pierre-François PRADAT, président de l’IRME, et la société Wandercraft, fabriquant de l’exosquelette, se rencontrent.

Dorine Bourneton marche avec l'aide de l'exosquelette de Wandercraft

Dorine a alors commencé à marcher régulièrement dans l’exosquelette.

Paraplégique depuis plus de trente ans, elle est utilisatrice d’un exosquelette et a initié cette idée de centre de marche accessible au plus grand nombre pour que, comme elle, les personnes paraplégiques retrouvent le temps des séances, une autonomie qui leur permette différentes activités physiques. En effet les progrès de la robotique, comme l’exosquelette, constituent un véritable espoir que l’on doit faire sortir des laboratoires pour les rendre disponibles aux patients. En reproduisant artificiellement un schéma de marche sur la motricité et les retours proprioceptif, ils offrent sans doute un très fort potentiel pour réorganiser des circuits neuronaux  fonctionnels.
Nous sommes persuadés qu’en association avec une stimulation médullaire, comme le démontrent les travaux exceptionnels de Grégoire COURTINE, une limitation du handicap séquellaire est maintenant possible. Mais ces approches restent à évaluer rigoureusement.
 

De cette rencontre et cette expérience à germé l’idée d’un centre de recherche et d’activités physiques adaptées à visée d’entretien, encadré par des professionnels du handicap afin de favoriser la récupération motrice et sensorielle et limiter le handicap séquellaire post-lésionnel.